dimanche 18 janvier 2009

Moving Graffiti


MUTO a wall-painted animation by BLU from blu on Vimeo.

Il fallait absolument que je vous fasse partager ce court-métrage incroyablement réalisé par le graffiti artist Italien BLU. Cette animation est d'une originalité ahurissante et d'une intelligence créative. Cela a dû lui prendre énormément de temps pour pouvoir peindre, couvrir, repeindre et recouvrir puis filmé chaque seconde sous un bon angle précis... Supposons, des mois de travail!


(Wrocław in Poland)

BLU possède un trait familier rappelant, je ne sais pas vous mais, me semble t-il, à un vieux clip musical animé genre Pink Floyd, d'où probablement vient sa source d'influence ?! Ma foi, son trait classique 40, 50s reflète la société d'antan. Son thème des Hommes mécanique et de l'évolution débordante de ses personnages dépasse l'au-delà du don de la créativité. Dieu, lui, nous a fait de nous des Hommes à avoir trois étapes de l'évolution: bébé, enfant et adulte. BLU, lui, a donner naissance à l'Homme à avoir plusieurs type d'évolution sans limite à une phase d'évolution d'une grossièreté et d'une absurdité délirante.

Ce graffeur est pareillement le spécialiste à peindre des personnages gigantesque aussi étrange les uns que les autres (tel que celui sur le cliché ci-dessus). A Berlin, par exemple, il a peint une paroi entière d'un bâtiment avec pleins de bonshommes rose cochon assemblaient les uns sur les autres qui forment un homme géant. Le résultat en est époustouflant !


(BLU feat Ekra a period old school)

Remontant en 2000, l'année de son commencement. A ses débuts, son style et sa colorisation n'avaient rien d'exceptionnel, ni de remarquable. En trois années, il a su évolué sa créativité progressant dans le trait et le relief tout en obtenant son propre style : celui de la bizarrerie.


(Scandicci in Italy)

Sketchs, images photographié, vidéos supplémentaire et wallpapers :

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Blog Officiel

OBJECTION!



Titre original : Gyakuten Saiban (逆転裁判) littéralement Réversion au tribunal
Titre européen et américain : Phoenix Wright
Genre : Visual novel
Thème : Simulation d'avocat
Auteur : Atsushi Inaba
Développeur : Capcom
Éditeur : Capcom
Nombre d'épisode : 5 (dont un spin-off intitulé Gyakuten Kenji autrement Perfect Prosecutor chez les occidents)

Découvert grâce au Gameplay RPG du Mi-Mars 2004 en lisant le test import de Gyakuten Saiban 3, j'ai eu un flash pour la première fois en voyant un jeu d'un genre nouveau, à l'époque où le jeu vidéo été peu commercial en France et avait principalement pour cible les vrais gamers. Deux ans plus tard, j'ai eu un coup de cœur en jouant au portage du premier GS sur DS enfin sorti en France sous le nom de Phoenix Wright. Depuis, je suis devenu un fan incontesté de cette série de jeu. A savoir qu'avant les portages des 3 premiers (le 4 est un épisode développé et conçu uniquement pour exploité les capacités de la DS), ils étaient exclusivement en import au Japon sur GBA, et plus tard il y avait des portages sur PC, toujours exclusivement au Japon. Cela est grâce au large et nouveau public du jeu vidéo que la conceptrice des portages sur DS et de l'épisode 4, Minae Matsukawa, accepte de vendre la licence à travers le monde. Elle a eu raison, car si cette série n'aurait pas sorti dans notre sol, je ne vous aurait pas présenté un article sur une série de jeu original qui mérite d'être connue *Tenshi's wink*. A noter qu'au Japon c'est un titre mythique.


Le but du jeu :

Vous incarnez un avocat de la défense nommé Phoenix Wright (Ryuichi Naruhodo en version original) soit Apollo Justice (Housuke Odoroki) ou bien encore Mia Fey (Chihiro Ayasato) ayant l'objectif de défendre et prouver l'innocence de votre client accusé d'une affaire de meurtre, et découvrir la vérité en dévoilant l'identité du meurtrier grâce à des preuves trouvé sur le lieu du crime et aux alentours du lieu ainsi qu'en prélevant des indices et aux réponses récolté grâce à des témoignages. Cependant à chaque procès, vous aurez affaire face à un procureur (un avocat de l'accusation) objectivement contraire au Votre, prouver que votre client a commis le meurtre et défendre les témoins de l'affaire, dont un de ses témoins est le meurtrier en question.


La trilogie :

Phoenix Wright : Ace Attorney / Gyakuten Saiban




















Producteur
: Atsushi Inaba
Productrice de l'affaire bonus : Minae Matsukawa
Compositeurs : Akemi Kimura, Masakazu Sugimori
Sortie GBA : 11/10/2001 (JP)
Sortie PC : 23/12/2005 (JP)
Sortie NDS : 15/09/2005 (JP); 17/10/2005 (US); 31/03/2006 (FR)

Phoenix Wright : Justice For All / Gyakuten Saiban 2




















Producteur
: Atsushi Inaba
Compositeurs : Akemi Kimura, Masakazu Sugimori
Sortie GBA : 22/10/2002 (JP)
Sortie PC : 31/03/2006 (JP)
Sortie NDS : 26/10/2006 (JP); 16/01/2007 (US); 16/03/2007 (FR)

Phoenix Wright : Trials and Tribulations / Gyakuten Saiban 3




















Producteur
: Atsushi Inaba
Compositeur : Noriyuki Iwadare
Sortie GBA : 23/01/2004 (JP)
Sortie PC : 31/03/2006 (JP)
Sortie NDS : 23/08/2007 (JP); 23/10/2007 (US); 03/10/2008 (FR)

Apollo Justice : Ace Attorney / Gyakuten Saiban 4




















Productrice
: Minae Matsukawa
Compositeurs : Toshihiko Horiyama, Akemi Kimura, Shu Takumi, Hideki Okugawa
Sortie NDS : 12/04/2007 (JP); 20/02/2008 (US); 09/05/2008 (FR)

Perfect Prosecutor / Gyakuten Kenji (逆転検事)

Sortie NDS : 2ème trimestre (JP); N/C (US); N/C (FR)
Ce qu'on sais aujourd'hui : Vous incarnez Benjamin Hunter (Reiji Mitsurugi), rival de Phoenix, dans le rôle d'un procureur. Vous enquêtez les lieux du crime en compagnie de Dick Tecktiv (Keisuke Itonokogiri) et menez des contres interrogatoire. Prochaine modification pour ample information au sujet du gameplay.
Site officiel


Mon avis :

Des procès titanesque, une mise en scène de génie tiré par les cheveux, la tournure des événements est incroyable que le joueur en est totalement stupéfait. Les répliques sont très sympathique et parfois marrante; ce jeu ne contient pas des mots de jurisprudence hyper soutenu pour vous prendre le chou. Non non! ce n'est pas ça, rassurez-vous. Elles sont simpliste. Les dialogues ont étaient soigneusement traduite en plus, un bon point (excepté PW 2, les traducteurs ont traduit à l'arrache, quelques erreurs de français et d'orthographe mais pas excessivement choquante non plus...).
Des personnages haut en couleur, charismatique, classe, expressif, hilarant et surtout attachant. On s'attache autant aux personnages secondaires qu'aux principaux. Les noms en version française colle parfaitement à chaque individu dont quelque super jeu de mot sur certains. Chaque personnage possède son tic, sa façon de parler, son attitude et à son propre caractère, ce qui fait le charme de cette série avant tout. Le langage de chaque témoin est également la difficulté du jeu. En effet, lors d'un contre-interrogatoire, il faut savoir lui faire cracher le morceau, sous ses mots douteux d'un blabla cache un mensonge. Mais en réalité, la difficulté progresse à chaque affaire qui suit. Cela demande de la réflexion pour balancer une objection fondée. Si vous vous plantez, le juge vous balance une amende, et ça ça fait mal (surtout une double). Le game over, c'est quand votre client est déclaré coupable. Pour gagner la partie, il doit être jugé non coupable.
Une bande-son très rythmé digne d'un bon jeu de baston sauce Capcom, qui met plus d'action lors des procès et quelques thèmes sont mélodique, froide et joyeuse.
Graphiquement, c'est stylé manga, le trait est agréable. Dans les trois premiers Phoenix Wright, la couleur est plus claire et le design parait moins esthétique. Le graphisme est néanmoins amélioré à partir d'Apollo Justice. Et quant à l'animation, on assiste devant un dessin animé.

Je n'ai jamais autant déliré et être stupéfait devant un jeu vidéo. A chaque fois que j'y joue, ça donne envie d'être avocat ! Le meilleur jeu sur DS auquel j'ai joué pour l'instant et un de mes jeux préféré tout court. C'est vraiment classe et excellent. Concernant son originalité, c'est le seul visual novel qui met en scène un avocat au lieu d'un dragueur de supermarché. Car la plupart des visual novel sont basé sur la simulation de drague. Et sans doute aussi le seul jeu tout genre confondu basé sur le droit et les procès.